ö Lawless times 1929 killer
jury ö
AGREG gangster Al
Capone
with CAPES attorney Mike Ahern.
The Capone Photo Gallery
courtesy The Chicago Historical Society.
ELIZAB TEISSIERE AGREG CONSULTANT ?...
> ...eh
oui, un même sujet peut tomber 2 fois de suite,
cela s'est produit en 95, une de mes amies a planché
sur Jules César qui était déjà tombé l'année
précédente.
Ce fut, parait-il, une hécatombe.
A vos révisions, donc! - Flor de Brotteaux.
February 2003 : agreg externe mock-exam in Amiens:
Comment upon Henry Kissinger's remarks
on the 'Special relationship':
"(it) reflected the common language and culture of two sister
peoples. It owed no little to the superb self-discipline by which
Britain succeeded in maintaining political influence after its
physical power had waned... It was an extraordinary relationship
because it rested on no legal claim ; it was formalized in no
document; it was carried forward by succeeding British governments as
if no alternatives were conceivable. Britain's influence was great
because it never insisted on it ; the 'special relationship'
demonstrated the value of intangibles."(White House Years, 1979 p.90).
How well does it reflect the Anglo-American special relationship from
1945 to 1990?
Although more than fifty years have
passed since the rattle of machine guns has died on the streets of Chicago, the cityâs image as the personification
of organized crime lives on
in the minds of many people around the world.
I remember
honeymooning in Greece when my wife and I shared a restaurant table with an English
family. When we told them where we lived, the young son held his fingers in the shape
of a gun and said : Rat-a-tat-tat,
Al Capone !
Although Al Capone was born in New York, and only lived in Chicago for twelve years,
he has probably become the Cityâs most famous citizen...
SUITE et pas moindre sur le site Illinois Police & Sheriff's News,
2615 W Peterson Av., Chicago. Il 60659.
agreg 2002 :
CRIME EN DECONFITURE ?
agreg 2003 : CRIME A LA VILLE ET A L'ECRIT ?
Plusieurs préparateurs auraient en 2002 confié
l'existence d'une pétition natio contre le sujet "Crime". Sujet trop vaste, sur lequel presque rien
n'a été écrit. Les universités de province rament pour
trouver les films, et quid des droits d'auteur (cf. plus bas)? Ce serait un M. Bordat l'auteur du sujet et - dixit
un préparateur de province - "c'est un ami, il va m'entendre" (sic).
Ce ne sont qu'impressions et expressions, disions-nous alors ici, ne prônant
donc pas l'impasse ici car bien
des candidats se sont faits avoir à cette roulette-là.
Il y en a de presque tristes, les fond of the crime study
theme.
"N'est-il pas qu'il est temps de travailler sur d'autres supports, plus motivants, la culture sur celluloïd
n'a-t-elle pas aussi ses titres
de noblesse?" (O. Livanton)...
MAIL S'AGACE...
> En 1994, je préparais l'agreg externe et l'un des sujets de
civi était les pré-raphaélites.
Tout le monde, y compris les préparateurs, pensait que c'était un sujet
d'oral (diapos à analyser par exemple).
Nous avons donc été très nombreux à faire l'impasse et...
vous avez deviné la suite: les pré-raphaélites sont tombés
dans un superbe sujet de dissert à l'écrit!
Donc prudence - à moins d'être un proche d'Eliza...
MISE EN BOUCHE
RIFIFI A CONCOURVILLE : testez vos références culturelles sur l'univers agrégant
avec ce bout de plume d'Oliviero d'Antonini et Giovanni
di Sahayi - et, candidats de
2003, lisez aussi l'épilogue. Si vous n'avez pas de temps à perdre, passez votre chemin =
scroll down for the serioso stuff.
Lawless times, 1929, transposé
soixante-treize ans plus tard.
Bureau du General Attorney Mike Ahern - Int./Jour
Killer agreg gangster Al Capone
and CAPES attorney Mike Ahern discuss agreg 2002...
Deux hommes dans la pièce, assis de part et d'autre d'un bureau de tôle
épaisse par endroits, défraîchie par ailleurs (au pluriel), tableau
vert foncé, quelques craies calcaires - jaune, vert, rouge.
Costumes gris foncé à fines rayures; le premier a les souliers vernis,
guêtres blanches posés sur le bureau.
Ce qui n'a pas l'air de gêner le second, qui tourne et retourne nerveusement
une feuille A4 Clairefontaine dans ses doigts de main mi-moites. L'autre demeure
mi-coi.
On se rapproche du bureau de tôle jadis émaillée. Des marques
bombées, sculptures en relief de faciès aplatis par les sbires du tourneur
de feuillet du jourd'hui laissent penser que la pièce, et pas que le tableau,
en a vu de toutes les teintes de plasma - de tous les rhésus crucifiés
au pistolet comme au fer à souder.
L'homme à la feuille est en bras de chemise. Il a chaud.
Il sue à hyper-gouttes malgré le lourdaud ventilo brasse-air d'allure
massivette et trapuforme posé derrière lui sur un classeur à
tiroirs en tôle également jadis-laquée, portant les mêmes
marqûres que le desktop.
En face de lui, plus calmos, en apparence, son co-locuteur, bordure satinée
de couvre-chef Panama authentique glissotant entre doigts de main lourdement bagués,
joue à faire tourniqueter son luxueux bien de paille en n'en effleurant que
le rebord cousu main, seul abat de soie.
Al : Il semblerait Mike, que le jury du clan des Renegers ne soit plus d'accord
sur la progression du cours de Civilius...
Mike tourne et retourne nerveusement la solide A4 / 120g dont le motif, effigie de
Marianne aux Palmes Académiques en filigrane, transparaît dans la pénombre,
modélisant sur le geste de son comparse avec son chapeau, vague réminiscence
de techniques de communication inspirées de l'école de Palo Alto.
Mike : Où est le problème, Al ?
Un petit malin aurait-il décidé que Crime en ville n'est pas un bon
thème d'écriture pour nos ciné-romanciers de l'agreg à
la St Valentin ?
Qui a bien pu sortir une bourdevanne aussi fadasse?
Al : Attention, Mike... j'ai tout juste ouï quelques agreg-ouaïlles
se plaindre du trop peu de curés factotums aptes à servir une préparation
solide au maniement des outils civilisationnels de Crime... que la plupart se servaient
de la webpage de Sire Sahayi pour leurs factuelles interventions, ou picoraient ailleurs
sur le net, re-servant sans réchauffer ni indiquer le made in where.
On l'a encore vu faire no elsewhere que dans la capitale du fief champenois...
Certains pontes huileux de la juridiction interne-agrégante s'étaient
déjà opposés au projet de coup "agreggation crime"
lorsqu'il avait été présenté aux parrains de la loggia
interne... - trop vaste, un réseau couvrant ville + écran serait à
la limite du gérable ÷ on n'a pas les plans précis de l'édifice,
les couvertures vidéo sont difficiles à se procurer même en copie
sous manteau via les frères de la Grande Loggia, et le gang des propriétaires
du droits de copie nous fait épier par les paparazzi, depuis le coup des copies
vidéo du Mort de Huston raflées dans une boîte à pharmacie
de station-service en Franche-Comté l'hiver dernier...
Il y a aussi un cruel manque de tireurs d'élite frangliciens type PRAG pour
préparer ce coup...
Bref, tout le b.rdel... serait l'oeuvre d'un certain Bordazzi, dont les poils des oreilles doivent commencer déjà
à sentir le roussi à distance!
Mike jette de rage sur la table l'A4 incivilement cabossée, mais qui résiste
encore à ses rages.
Mike : Peut-on illico en avoir le cFur net, Al?
Qui est dans le secret? Par tous les dieux du Vésuve, diablotins d'Albanie
et angelots qu'a peints Michelangelo, dis-moi tout, c'est un ordre !
Al pose son chapeau sur les genoux, shouffe et reshifte ses mains manicurées
avec une délicate pensée pour son esthéticienne commandée
de Venise - et non de Vénissieux - respire un bol de cet air lourd des détritus
d'émois du passé, au fond peu frais donc, tout en respondant à
Mike.
Al : Cherche pas trop Mike. Sont seuls dans le secret du gang les Manolli
(Dame Agnelli, à vrai dire, depuis que son Giovanni est parti à la
pêche) et les parrains de la juridiction interne proche de la grande et réservée
prêtresse Mimi Chewski de la Loggia Gaule-Ascèse...
C'est Dame Agnelli, Claudia pour son clan d'estime du clan des VTT-STT ö Verts
Traducteurs Transis de Sainte-Tétine, qui a lâché le morceau
lors d'un briefing près des décombres de la tour Manufrance, alors
que bros et sistas l'interrogeaient sur l'attitude des commissaires à la disette
au cas où l'affaire du clan écossais des Giovanni Donne tiendrait la
vedette aux rencontres agrégatives des 20-21 février...
Signore Bordazzi est une vraie brebis galeuse aux yeux de la peu tendre maîtresse
du Signore Tradittore Di Mano Agnelli Pescatore.
Mike s'ascenscionne dâun bond le séant et ne retient pas un :
Mike : Claudia ! la Madone Nuelli ? L'as... de la traduc, segmentaire assermentée
du kilomètre d'analyse !
Il arpente nerveusement la pièce de long en large derrière son bureau,
puis s'exclame :
Mike : J'aurais dû m'en douter. Elle arrive toujours à tout savoir,
et aspire à tout contrôler, la poupée fumante et fulminante...
Et sa tite sFur Analysa du campus postal J.F. K'cnedi de Vanve-les-Vanvesse m'apprend
qu'elle tourne des vidéo-films avec un certain... Wistino-Whisky?
Al : Oustinofriskee, c'est notre expert en langues au clan des Vanvini. Ces
deux-là... ils n'arrêtaient pas de se chamailler sur les barèmes
et taux d'alcoologie traductionnelle dans les studios K'cnedi, et devant la maquilleuse!
Ils essaient de nous faire avaler un remake du coup des vignobles acadiens de Vinay
aka d'Arbelnay... destiné à être revendu en mini-fioles par la
famille K'cnedi aux petits bouilleurs de cru du marché aux poux...
Mais ils ont tellement segmenté la cosa nostra et emberlificoté la
Scotto mise à Sion que les cousins érecto-rats ont des doutes, on
prévoit un flop magistral avec rupture de segments le jour
J - simplement parce que les jeunots voudront
en faire trop...
H'm, je vois mal fière Agnelette aux dix millions de pages de traités
traduits à la gauche du Palimpestiféré Ouisti-Outang, khôl-khajal
dégounolant sous les projecteurs, cendrier en arcopal à portée
du petit doigt bagué d'opale...
Mike : Grandioso, al contrario, Al, maintenant nous occupons enfin l'écran,
après la ville! Je vais te faire tenir copie du film des studios K'cnedi par
la Niña Minetto qui a des amis au GICA-clan des Brissetti-Morati et des Donatelli-Wagnerazzi.
Mais pas d'illusion, même si la juridiction interne n'est pas partante pour
un super Crime, Al, d'après ce que j'ai compris, les fellas sont tenus de
fournir un projet de sujétion orale pour chacun des coups proposés
au regroupement d'impétrance annuelle des aggregatori...
Al ne bouge pas de son fauteuil, pose son chapeau sur la tête, l'ajustant fignolassement
sans l'enfoncer tuttafetti, comme s'il n'était pas encore tuttaffeto en partance
dans l'estafette de service - privée depuis peu de son chauffeur attitré
jugé par trop peu disert...
Il observe Mike qui arpente toujours nerveusement la pièce, demi-pizza en
poche suintant coulis de pomodore dans son papier sulférisé, et qui
vient de rajuster col Danton sur veston, ayant une fois de plus tâté
nerveusement le magnum à croûte chocolat accroché sous son tricot
thermal, comme pour s'auto-rassénérer.
Al (a mezzo voce) : Qui choisit le sujet anywayi, Mikeyi?
La gaulienne Chiouski, la juridiction interne, les parrains flingueurs au ministère?
Hein ? A qui profite ce Crime dâaprès toi?
Sans arrêter d'arpenter le parquet ciré couvert de sciure fraîchement
mais mal-assidûment répartie, regard lessivé perdu dans le vide,
il semble chercher des éléments pour ré-appréhender la
situation.
Mike : Le sujet est tiré manuellement, à la roulette rusty,
Al, à l'abri des regards de truie, au tréfonfonds du bac des ducs...
La Française des Jeux a telexé depuis Ixtan au clan des Mammouti un
devis pour des services arithmétiques sans virus en période de concours,
qui permettraient de replacer le coup de février en août, et soulager
du cou sbires velus de Vanves et dactylos de la Via Chateaudun.
Mais les budgets sont survissés là-haut - la plèbe eut tort
de croire à la prospérité d'en gauche - et il y encore trop
de ronds-de-cuir faisant cui-cui...
Nenni question donc d'opter pour les technologies du clan Billy des Gates avant le
retirement du has been corps.
Il s'arrête brusquement, respire, puis tape d'un poing droit dégauchi
par d'anciennes audaces sur le bureau de tôle, y laissant une marque supplémentaire,
dans un fracas de fracasse-tôle... puis poursuit en fixant Al droit dans le
noyau de ses yeux au contour en pépin de prune d'ente de correcteur K-cneddi
réclamant son défraiement pour correction délétère
bien appliquée à tireurs néophytes.
Mike : Mes hommes n'ont pas de temps à perdre à vérifier
toutes ces infos. Alors, si tu sais quelque chose, tu ferais mieux de l'accouchabouler,
et illico, avanti !
Tout le monde est sur les dents dans la barque agro-capessante : le Maire de Concours-en-Glé
menace de me radier de sa liste expect-orale et me déposer au cachot si je
ne lui ai pas trouvé un coupable avant le 20 février...
Le 20 février, Al ! Ca n'te rappelle rien, Al ? A peine une semaine après
la St Valentino, jour de l'épreuve agrégatoire...
Bel anniversaire, non ? Déjà l'an dernier nous l'avons fêtée
en travaillant sur un coup fumant, avec des rafales anti K-nedi qui ont eu quelque
effet.
Et donc, pour revenir à la Cosa Agrega et au Crime programmé si je
n'ai pas d'info qui vaille d'ici là, c'est toi et ton gang gangréné
qui aurez de mes dernières nouvelles!
Al se lève, visiblement ébranlé par les propos de son attorney
soudainement peu accorte devenu, qui décidément doit jouer double jeu.
Al : T'énerve pas, Mike. C'était juste comme ça, une remarque
en passant... Après tout, je puisse m'hêtre tromper sur le Concordat
des temps...
Mike : Say no more ou je te fais stranguler illico devant une assiette de
spaghettes au pistou de Provence dans les galleys d'un Concorde russe.
Al : Milke, à vrai dire, je vois mal un gang si organisé, si
bien outillé et de plus en plus soutenu que celui des listiers agro-capessants
qui viennent de réussir à gruger l'édifice vanvi-K-cnédien
en y infiltrant la propre fille du condottiere Léoandi, passer la main sur
une affaire, on va dire, juteuse.
Si j'étais eux, je n'zapperais pas sur ce coup là!
Parce que même s'ils ne rafflent pas le jackpot au premier passage... il leur
reste des chances de raffler la mise au fil des ans, tout en faisant carrière
dans la maison des Luciano Ferrari et autres boat-people...
Ils ne seront pas nombreux cette année encore à se partager le pactole,
soixante-quatre selon la page web...
Bon, je file, ma couturière m'attend. A la revoyure, Mike.
Mike : Ciao, arrivée d'air chaud ! Et gare à toi et aux hautains
tiens : si tu retiens des infos sérieuses sur Crime à l'agreg, tu seras
privé de Morositas, et flambé tout cru au Valpolicella - au grand dam
des chauves et chagrines des commissaires au gag de l'Agaga Action Exchequer... tiens-le
toi pour dit, petit joueur en chapeau de cuir et bottes melon...
EPILOGUE-sujet : Crime à l'agreg 2002 - expression ou répression
? Que croyez-vous qu'il
arriva ? Ce fut "Crime" qui tomba à l'écrit de l'interne
2002, au triste dam du grand public agrégant qui l'avait mis en grande impasse...
Couac qu'il en soit : l'impasse ne paye pas !
Extraits du programme officiel de
l'agreg interne 2002
- sujet reconduit pour
2003...
BO Spécial, 26 Mai 2001
:
1 - Le crime organisé
à la ville et à l'écran (États-Unis, 1929-1951)
On étudiera le gangstérisme aux États-Unis et son évolution
jusqu'au début des années cinquante avec le développement de
la Mafia.
L'exemple de ses représentations dans le cinéma des années trente
et quarante (film de gangsters, film noir, film policier semi-documentaire), engagera
une réflexion sur le statut du criminel et des policiers qui le combattent
dans l'imaginaire hollywoodien (des "flics pourris" du début des
années trente aux agents incorruptibles du FBI, en passant par les "privés"
ambigus du film noir), et sur le rôle du cinéma dans le développement
et/ou la répression du grand banditisme.
(C'est la prolifération des films de gangsters qui a provoqué en 1934
l'application stricte du "Code Hays" face à l'évidence croissante
de leur influence sur la jeunesse).
En partant du massacre de la Saint -Valentin (14 février 1929) et des premiers
films de gangsters (1931-1932 : Little Caesar, The Public Enemy, Scarface), on s'arrêtera
en1951, avec la fin des travaux de la Commission Kefauver, qui prend la mesure de
la nouvelle organistion du crime aux États-Unis, telle que l'annonçait
déjà le cinéma depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
- ICI
: SECTION SPECIALE FILM NOIR , HAYS CODE...
MAIL
> Quelque
chose m'aide beaucoup pour récapituler les films : le site Web sur the greatest films qui est cité sur la page d'agreg
: il propose les synopsis d'un grand nombre de films avec des remarques sur les plans,
les symboles etc.
Je n'ai pas pu me procurer tous les films, je me suis donc fait une idée en
lisant ce qu'ils proposaient.
On y trouve par exemple : Little
Caesar / Scarface / The Public Enemy
/ White Heat / The Maltese Falcon / The Big Sleep / Touch of Evil. Cela aide quand
on ne peut pas tous les avoir vus.
ö Isa Guy.
MOTS-BALISE
reality and film, Hays code, Kefauver
commission, nature / nurture (heredity / environment), film as (deforming) mirror,
crime = industry ? (criminals = industrialists?), monopoles, mirroirs, transgression,
répression, Prohibition, prosperity, morale, (ex)(de)(re)pression; gangs,
hyphenated Americans, Volstead act, Cagney, Muni, Robinson, racket, numbers games,
tax evasion, Coba, Mafia, black hand, fallen woman, "gangster as a tragic hero"
(Warshow) - Political corruption, censorship, ethnicity, translation, expression...
EN GUISE D'INTRO
- a number of leads into the organized
crime subject that students would be expected to reflect upon...
1. Do not allow yourselves
to be carried away by the idea that 'organized crime' is reducible to the mafia.
You can find some traces of one
form or another of organized crime within the United States from a fairly early stage
- this is what the Browning and Gerassi volume is about.
Although their experience back home may have pre-adapted some Sicilian immigrants
to what they would find in the US, and provided them with tools that made them take
to the American cities like fish to water, non-mafia gangs existed before they arrived
and continued to exist throughout the period 29-51.
How far is it true to say that the conditions of American urbanization were particularly
conducive to the growth of illegal organizations?
2. This would lead to
a consideration of at least two themes :
on the one hand, does USAnian culture
encourage recourse to illegal means of achieving success more than do the cultures
of other societies?
Here one might investigate the image of the outlaw, and the darker side of
the American Dream.
It may also be a good idea to look at early functionalist accounts of criminality,
such as Merton's 'anomie theory'.
On the other, what was there about the objective conditions of urbanization
that encouraged the growth of gangs?
This involves looking at Parks and Burgess's accounts of the sociology of the city,
bearing in mind that their work springs from what was happening in front of their
eyes in Chicago.
3. Do not over-concentrate
on the gangs and the gangsters themselves;
the needs and desires of groups
within the political realm and within the ranks of the 'Criminal Justice community'
played a large part in shaping and channeling the activities of the gangs.
This should not be seen in the simple terms of 'corruption' or 'incorruptibility'
- both of which are more properly dealt with under the next point - but in terms
of the realities of rapid urban expansion.
(From a later period, one can cite the way in which social agencies contributed to
the growth in power and formalization of the Crips and the Bloods in the late 60's
and early 70's).
4. From the way the subject
is announced in the BO,
one would expect the main emphasis
to be upon the various representations put forward - particularly by the cinema,
but also by the other media and by official bodies such as the Kefauver Commission.
Here it might be useful to ask why it was that there was such weight put upon the
Italian gangs (if indeed we *do* find that Italians were over-represented in gangster
films and so on) - this could usefully be compared with the more recent vision of
the typical American gangster as being black.
One could also wonder why it was the 'organized gang' that became the focus of attention,
rather than the much more prevalent social form associated with crime and delinquency,
the so-called 'near-gang'.
By the way, I rather think that much is to be gained from having a look at Alan Parker's
clever film 'Bugsy Malone' which, by casting children in a gangster movie, was able
to lay bare the bones upon which the originals were fleshed out.
5. Netwise :
In 1950÷51, the crime-investigating
committee of Senator Estes Kefauver revealed that organized crime, albeit under new
leadership, was still operating.
Perhaps a more alarming aspect brought to light by the committee was the aura of
respectability achieved by top racketeers who, by removing themselves from direct
contact with criminal activities and maintaining legitimate business fronts, had
insulated themselves from criminal prosecution.
The Kefauver investigation led to a flurry of law-enforcement activity, particularly
attempts to deport foreign-born crime kings such as Luciano.
In Nov., 1957, a routine police check in remote Apalachin, N.Y., uncovered a convention
of gangland leaders from all over the US and abroad.
The resulting rash of investigations revealed the power and extensive operations
of organized crime.
The inadequacy and inability of local law-enforcement agencies to cope with organized
crime was underscored by the Knapp Commission, which uncovered relations between
New York City police and organized crime.
The President's Commission for Law Enforcement and Administration of Justice (1967)
estimated that twice as much money was made by organized crime as by all other types
of criminal activity combined.
÷ Timothy MASON, chargé de formation.
A must see for agro-caponets: Timason's rich webpage
Making
of America : an extensive
collection of books and journals relating to the development of the U.S. infrastructure:
bibliography of books, journal articles, online search tool to search the scanned
images of the original pages, extensive Help section, with tips for searching and
finding information.
Colloque de Cachan : ici.
REACTIONS
> While
I agree in principle, also on the points about non-mafia gangs, wouldn't we have
to agree that gang representations in the cinema, radio and early TV were almost
exclusively focused on the individual gangster?
I feel that reflections in the media and in cinema are far more than half of the
subject as presented. We'll also need to be conversant in the various laws that affected
gang activities, like the one that required bootlegging income to be reported to
the IRS, and brought about the fall of Capone.
The Hays code and other similar regulatory groups like the catholic commission play
a key role, and represent an important reaction both to real and fictional gangsterism.
On other fronts, I also agree that we need to read the rapports de jury and do all
the basic agreg stuff, aside from the specific subject preparation. Heck, what with
Donne on our list, we'll also all have to become experts on versification and classical
rhetoric... - Philip Benz.
On May 27th, a penas 3 horas
after first clapping eyes on the just unveiled subject, our friend Philip had launched
his webpage on the subject
Organized Crime, in the city and on the screen (1929-1951)
A US-born Professeur certifié d'anglais in Ardèche & aca Grenoble
formateur académique en informatique, Phil is looking forward to pad his page
out with additional contributions on the topic - write him!
NDWM :
Nos dabblings n'engagent pas leurs
auteurs et n'ont, pas plus que cette page expérimentale d'agreg, pas de valeur °°officielle°° dans le cadre des préparations aux concours.
La référence °°officielle°°,
spécifique aux attentes contingentées
des jurys de concours reste le pack Instructions officelles + Rapp de jury
+ programme des concours + bibliogaphies des pontes + courses en fac et IUFM et,
last and least ? décevemment cher pour ce que ce fut ces dernières
années - el cned (a purse-flattening
1.700 FRF).
Cependant, nous aspirons à mieux cerner les arcanes les plus incongrues
de la chose et à en déjouer les pièges et attrappes.
APPROCHE FRANCAISE
Mail :
> De
passage à Londres en aoùt dernier, j'ai fait un saut à la
splendide British Library toute récente et voilà ce que m'a proposé
l'ordinateur sur le thème "crime in the USA":
- Shots in the Mirror, Crime Films
& Society, Nicole Rafter, Oxford University Press, 2000. Très bien fait
& exactement sur notre sujet!
- Dreams & Deadends, Jack Shadoian,
1977, moins intéressant, assez mal écrit!
- Crime Movies, Carlos Clarens, 1980,
Hollywood Gangland, John McCarthy, 1993.
et le maintenant célèbre
- Public Enemies & Public Heroes,
J. Munby, 1999 - que la célèbre Britishothèque n'avait pas!
- Hey !
On peut en lire gratos 24 pages
!
> Il existe
un petit "Découvertes" (n°139) chez Gallimard sur le film noir
:
Le crime à l'écran, une histoire de l'Amérique par Michel Ciment. C'est une introduction
plutôt agréable au thème. Il y a des photos, des résumés
de films, et même le code Hays. Le tout en français, en couleurs...
VOIR ICI
pètty gangstérisme
> Je m'aperçois que ma prof de civi a repompé le texte d'un site
que je viens de trouver sur le gangstérisme! C'est mot pour mot son cours
! deux heures de route aller-retour, alors qu'internet à la maison, ça
y est depuis des lustres! - F.
NDWM : le net est si
foisonnant - ce n'est pas de mauvaise guerre... pourquoi aller ailleurs?
more, en vrac
> The great movie
site : teach
with movies.
*See, New Apple Pie
3ème, A Good Read n° 5 pp156-157, for those of you who find talking to tables interesting...
** Top tip: Watch out for DVDs coming from the UK, they rarely have the French soundtrack
or subtitles.
> Veillon, Olivier-René, Le cinéma
américain - les années trente- Seuil, coll. Virgule, V40.
Collection "Que sais-je" : Le crime organisé n°3538,
en ré-impression...?
Assez (trop?) général.
Yahoo Encyclopédie :
article
Alphonse Capone, dit aussi «Scarface»,
Gangster américain (Brooklyn, New York, 1899 ÷ Palm Island, Floride,
1947).
Sur la Mafia.
ROWNING (Frank) et GERASSI (John)
: Le crime à l'américaine.
Traduit de l'anglais par Jean-Pierre CARASSO - L'oiseau-lire.com
l'opus crime des Editions du
Temps :
Sont téléchargeables
ici,
ne pas s'en priver :
la table des matières,
l'avant-propos,
la bibliographie,
un chapitre de Michel Serceau :
"Entre Mabuse et le parrain,
le crime organisé à l'écran dans les années 30 et 40"
(19 pages ).
> très
facile à lire, découpé en chapîtres intéressants,
bonne première approche sur la question... petit défaut pour l'interne,
grand tatou pour l'externe, c'est en français!
celui d'Ellipses - table des matières :
1ère partie (civilisation)
:
- A propos du crime organisé (P. Lagayette)
- Prologue : organized crime during prohibition (A . Hage)
-Mirror of violence : the social dimension of gangster movies (G. Black)
- De la mafia ou d'un business à l'américaine (MC Michaud)
- the regulation of morals in the US - a study of State and federal controls of organized
crime (JE Branaa)
- well-educated, well-dressed and polite ? the changing face of the Hollywood gangster
in the 1930's (R. Vasey)
- le gangstérisme des années 30 et la censure à Hollywood (D.
Peltzman)
- Juvenile crime and the Kefauver Hearings ( M. Guillen)
- le crime organisé dans le ghetto afro-américain (1920-1940) (F.
Clary)
2ème partie : cinéma
- introduction (D. Sipière)
- American gangsters in fact and on film : the social construction of an American
popular hero (J. Dean)
- the classic 3 : "Little Caesar, Public enemy et Scarface" (Dr Dominique
Sipière)
- "sanitizing" "Little Caesar & Co" (M. Guillen)
- cultivating crime and criminalizing culture : screening violence from the depression
to the cold war (D. Frau-Meigs)
- clans in "Scarface" and 'the Maltese Falcon", screening the female
(E. O'Neill)
- "the enforcer, la femme à abattre" : un film, des regards (P.
Floquet)
- "Key Largo" : le gangster au miroir du cinéma, refléxivité
et mélange des genres (G. Menegaldo)
- "Investigators, undercover men and the FBI : from gansterism to communism
and back again (R. Humphries)
- Sergio Leone's "Once upon a time in America" looks back at the roaring
twenties (Z. Saleh)
autres
- Lesley Brill (Univ of Colorado, Boulder): Growing
Up Gangster, Little Caesar : The Public Enemy, and the American Dream, p. 11
- Jean Loup Bourget (Univ Toulouse) : Le Film noir
p. 47
- Yves Carlet (Univ Dijon): De la crise au code,
Hollywood, 1930-36 p. 153...
- Dans "Lettres d'Amérique" sur
les auteurs du XX° siècle, d'après l'émission diffusée
sur la 5° (Ph. Labro et un autre journaliste), un chapitre intéressant
sur le roman noir (qui a souvent donné lieu à adaptation en
film noir comme tout bon agrégatif le sait...), ne pas hésiter à
y jeter un coude-aïeul.
- ICI
: SECTION SPECIALE FILM NOIR , HAYS CODE...
Quelques citations
From Nicole Rafter's "Shots in the Mirror".
"Crime films reflect our ideas about fundamental social, economic, and political
issues ; at the same time, they tend to shape the way we think about these issues.
When we look at the relationship between crime films and society, we see a dynamic
interplay of art and life."
"Crime movies (...) implicitly make two arguments at once. On the one hand,
they criticize some aspects of society : police brutality, prison violence, legal
barriers to justice, or the threat of crime ; on the other, they typically offer
us some solace or resolution by showing a triumph over corruption and brutality :
the savage cop's arrest, the admirable prisoner's escape, the lawyer's victory over
legal barriers, or the criminal's ultimate fall.
A key source of crime films attraction (...) lies in the way they provide a cultural
space for the expression of resistance to authority.
"Thus, while crime films are often subversive, they also promote systems of
social control by making these seem normal, unproblematic, or even useful. Crime
films condemn such institutions of power as prisons, but at the same time they reinforce
them."
"Criminal motives, limited in the 1930s gangster movies to money or power, became
increasingly cryptic and pathological, reflecting a cynical, almost hopeless disillusionment
with society."
Thomas Schatz, in "Hollywood Genres" :
"This changing visual world (...) reflected the progressively darkening cultural attitudes during and after the war. Hollywood's noir films documented the growing disillusionment with certain traditional American values in the face of complex and often contradictory social, political, scientific and economic developments."
"Crime films thrived for about a decade after WW2 (...) expanding their commentary on social issues. America entered the Cold War, a period of difficult adjustment and division. Beset by self-doubt, suspicion (McCarthyism and the Red Scare), anxiety (threats of war with Russia and nuclear catastrophe), and rapid change (suburbanization, technological advances, shifts in gender and race relations), Americans embraced social and cultural conformity."
N. Rafter:
"Rather than forcing us to chose between the qualities associated with the "criminal"
and the "good-citizen", these movies enable us to shuttle back and forth, to have it both ways. In one common pattern, they induce us to identify with the hero till near the filmís end, at which point they have the hero shot by a
good-citizen type.(...) We can savor the danger of the street and the safety of the home, the excitement of violence and the pleasures of peace."
Robert Warshow :
"The effect of the gangster film is to embody this dilemma in the person of
the gangster and resolve it by death. The dilemma is resolved because it is his death,
not ours. We are safe"
Quelques gangsters célèbres
de New York
Arnold Rothstein (1882-1928)
L'ancêtre du crime organisé. Il le
contrôle de 1914 à 1928. Il fait fortune dans les jeux (gambling).
Il est connu sous toute une série de pseudonymes: Mr Big - The Brain - The
Man Uptown - The Fixer.
C'est le gangster le plus important de son époque.
Il se manifeste autant dans des activités illégales (trafic d'alcool,
de drogues, de diamands) que légales (confection).
Il joue sur l'évolution en devenir du fonctionnement industriel et commercial.
Il sert de prestataires de services aus syndicats naissant en leur donnant de l'argent
et , en même temps, il va voir les patrons en leur donnant des briseurs de
grève. Cette démarche servira de modèle à ses successeurs,
surtout à Costello. Il est assassiné le 4/11/1928 à NY, probablement
par l'un de ses lieutenants. Le cas n'a pas été résolu!
Frank Costello (1891 - 1973)
"The Prime Minister of the Underworld".
Immigrant italien, arrivé avec sa famille à NY en 1896.
Il est arrêté à 14 ans pour cambriolages. En 1913/14, il commence ses premières activités sérieuses: il collecte les loyers pour les propriétaies absents. En 1914, il est condamné à un an de prison pour port d'arme.
Après son séjour en prison il abandonne le "small crime".
La prohibition lance Costello qui reçoit le soutien financier de Rothstein dans le contrôle des jeux (courses de chevaux), la vente d'alcool et de drogues. En 1951, il est convoqué devant la commission Kefauver, et se retire des affaires en 1957.
C'est l'exemple classique du gangster qui a su tirer profit des activités illégales pour acheter des élus municipaux ou des magistrats. Il joue sur l'interface entre les gangs et toutes les structures qui pouvaient protéger ou laisser agir les gangs.
The Diamond brothers
Jack et Eddie Diamond, originaires de Philadelphie.
Exemples typiques du gangster qui s'en prend au gangster. Ils s'attaquaient aux convois des concurrents qui amenaient l'alcool aux USA. Ils étaient aussi financé par Rothstein. Ils faisaient du racket industriel pendant la prohibition, puis se sont reconvertis dans l'industrie de la confection, de la fourrure, des transports.
Opération très lucrative!
Charles "Lucky" Luciano (1897-1962)
Gangster italo-américain le plus important de la période, comparable à Al Capone.
On dit qu'il créa la Mafia américaine en 1931 en exécutant sommairement tous les anciens gangster siciliens dont le style n'était pas adapté aux système américain!
Il est co-fondateur du National Crime Syndicate, un réseau de gangs de toutes
les éthnies chargé de contrôlé l'activité des gangs
dans diverses régions, en matière de crime organisé.
Il est né à Palerme et est arrivé aux USA en 1906.
Il est arrêté pour vol en 1907, année pendant laquelle il crée
une société de protection rapprochée: pour quelques pennies
par jour, ils protégeaient des enfants (souvent juifs) victimes d'autres gangs.
En 1920, il se lance dans le trafic d'alcool et compte parmi ses plus grands amis
Frank Costello.
La mafia sicilienne dirigée par Salvatore Maranzano entend éliminer
Luciano pour régner sur NY, mais il est assassiné! Luciano prend le
contrôle de NY et du syndicat du crime.
Ses activités sont "classiques" : alcool, drogue, jeux , prostitutiosn,
prêts usuraires, et il en a le monopole.
En 1936, il est poursuivi par le procureur Dewey pour prostitution et condamné
de 30 à 50 ans de prison. il continue de diriger l'organisation de sa cellule.
En 1946, il est libéré pour sa participation à l'effort de guerre
car il a ordonné à ses troupes de s'assurer de la sécurité
des docks et des quais de NY, et il a soutenu l'armée américaine lors
du débarquement en Sicile.
Déporté en Italie, mais on autorise le retour de son corps à
New York après sa mortelle crise cardiaque.
Autres noms célèbres de l'histoire du Crime
Rogues, Rascals and Outlaws : Politics and The Organizing of Crime in Rural Areas, by Gary W.
Potter.
Histoire du FBI de Chicago
créé en 1920, et qui arresta le Caponé.
Document:
la condamnation d'Al Capone.
Le
massacre de la St Valentin.
Sur crimemagazine un article sur le chanteur Frank Sinatra
('strangers in the night') et ses relations avec la Mafia de 1940 à nos jours.
Dans la section "crime film", il est question du film de J.J. Maloney sur
l'évolution du film noir.
American History sites review site
In 1950÷51, the crime-investigating committee of Sen. Estes Kefauver revealed that organized crime, albeit under new leadership, was still operating.
Perhaps a more alarming aspect brought to light by the committee was the aura of respectability achieved by top racketeers who, by removing themselves from direct contact with criminal activities and maintaining legitimate business fronts, had insulated themselves from criminal prosecution.
The Kefauver investigation led to a flurry of law-enforcement activity, particularly
attempts to deport foreign-born crime kings such as Luciano.
In Nov., 1957, a routine police check in remote Apalachin, N.Y., uncovered a convention of gangland leaders from all over the United States and abroad. The resulting rash of investigations revealed the power and extensive operations of organized crime.
The inadequacy and inability of local law-enforcement agencies to cope with organized crime was underscored by the Knapp Commission, which uncovered relations between
New York City police and organized crime.
The President's Commission on Law Enforcement and Administration of Justice (1967) estimated that twice as much money was made by organized crime as by all other types of criminal activity combined...
pour lire la suite:
The Kefauver Investigation and the Knapp Commission
History of the FBI - the "Lawless Years".
Al Capone the tsar÷ la star del crimen
Quite a lot has been written and said about Al Capone
in newspaper and magazine articles, books, and movies that is completely false. One
of the most common fictions is that like many gangsters of that era, he was born
in Italy.
Absolutely not true.
This amazing crime czar was strictly domestic - taking the feudal Italian criminal
society and fashioning it into a modern American criminal enterprise...
more by Marilyn Bardsley
aka
Scarface
Capone's job at the Harvard Inn was to be the bartender
and bouncer and, when necessary, to wait on tables.
In his first year, Capone became popular with his boss and the customers.
Then his luck turned suddenly when he waited on the table of a young couple.
The girl was beautiful and the young Capone was entranced. He leaned over her
and said, "Honey, you have a nice ass and I mean that as a compliment."
The man with her was her brother Frank Gallucio.
He jumped to his feet and punched the man who insulted his sister.
Capone flew into a rage and Gallucio pulled out a knife to defend himself.
He cut Capone's face three times before he grabbed his sister and ran out of the
place.
While the wounds healed well, the long ugly scars would haunt him forever.
Al
Capone : St. Valentine's Day
Neither McGurn nor Capone ever thought that the planned assassination of Bugs Moran would be an event that would be notorious for many decades to come.
Capone was lolling so lavishly in Florida, so how could he be held responsible for the murder of a bootlegger.
"Machine Gun" McGurn was given complete control of the hit...
ICI : SECTION SPECIALE FILM NOIR , HAYS CODE...
QUAND COLLOQUE RIME A'C CRIME
A CACHAN SUP D'AGREG
SAMEDI 27 OCT. 2001, 9-18h Journée d'étude
sur le crime organisé à l'ENS Cachan
PROGRAMME
" Violence, immigration, et crime organisé
entre 1929-1951 " Sophie Body-Gendrot - Université Paris IV.
" Le Cinéma, la ville, le crime organisé " Francis Bordat
- Université Paris X.
" Univers de corporation, Univers du crime " Divina Frau-Meigs - Université d'Orléans.
" Jules Dassin : Crime et The City " Reynold Humphries - Université
Charles de Gaulle Lille 3.
" Esthétique du réel et transgression sociales : la photographie américaine face au gangstérisme " Jean Kempf - Université
Lumière Lyon 2.
" Cagney de décade en décade : Public Enemy, Roaring Twenties et White Heat, Dominique Sipière - Université du Littoral , Boulogne.
" Organized Crime : New York City - What happened during World War two",
Robert Skippon - Institut d'Anglais Charles V / Université Paris 7.
Contact pour les actes officiels du colloque : Françoise JUNG, ENS Cachan, Département de Langues 01 47 40 23 00
HANDS UP !
WE'RE THE GICA
GIRLS DOING WHAT WE DO BEST !
Quatre James Sean Girls, respectables professionnelles
au demeurant, se sont retrouvées sans tambour melon ni trompettes de cuir,
mais dûment registrées pour la Journée du Crime sur les prémisses
de L'ENS de Cachan le samedi 27 octobre 2001au moyen matin. Deux d'entre elles portaient
ce badge en tôle de papier déco-lié-laqué ici grandeur
nature, reproduction autorisée pour vos missions GICA auto-officialisées.
Gro'scrupule d'Intervention
concours d'anglais
GICA
CRIME SCENARIO REPORT
> Très utile ce badge ! Certains l'ont pris pour l'insigne
d'un asso important !
J'ai eu droit aux yeux doux (beurk!) d'un des intervenants, et mangé gratos
au RestaU de Cachan : quand j'ai râlé que mes nouilles siciliennes étaient
froides, la petite caissière a regardé mon custom-made badge, et a
dit "bon, si c'est froid alors je vous en fais cadeau". J'en pleure encore
de rire!
Les interventions n'étaient pas toutes aussi intéressantes ni à
propos, mais la diversité de l'ensemble valut le coût du déplacement.
Notre équipe de choc vous fait profiter sans ambages de ses notes, ici.
- Mine Duchrist, couturière du GICA - admissible.
e-COLLO'QUESTIONS
> vous avez dit colloques ?
Un énonciateur (= un intervenant, souvent professeur de fac) a l'air de s'adresser
à un public (= les étudiants d'agrégation ou de CAPES) avide
de comprendre et d'apprendre.
Seulement, ceci n'est parfois (souvent?) pas la réelle situation d'énonciation.
Bien, des fois l'énonciateur s'adresse en réalité à d'autres
co-énonciateurs, (= ses collègues chercheurs), à qui il va démontrer
sa vision unique, sa compétence indéniable, son appréciable
contribution au sujet, et lesquels s'empresseront de venir le féliciter en
fin de journée.
Les étudiants, eux, sont parfois laissés sur le bord de la route...
Cas extrême, vu à la Sorbonne, celui où l'énonciateur
ne s'adresse en réalité à personne: il ne s'agit en fait que
l'oralisation du brouillon de son article qui sera publié dans le recueil
des interventions du colloque...
- Jean-Marie Ch., agrégé interne crû 2001 (sorti major).
> On
pourrait donc considérer les colloques comme davantage utiles pour les questions
de civilisation?
L'idéal,
si ces colloques sont vraiment destinés à l'agrégation
que l'on y apprenne aussi à faire des dissertations !!!
Il serait bien en tout cas que les collègues soient bien au fait de
tout ce qui a déjà été dit et redit sur la Dissertation : exercice de type universitaire au Concours, qui
ne s'improvise pas et qui, si on en a l'art, pourrait à la rigueur, se réussir
après avoir purement et simplement étudié à fond les
oeuvres littéraires au programme.
L'APRES-COLLATION
Au diable esprit de compétition
et petits jeux claniques !
L'équipe de choc GICA (gro'scrupule d'intervention concours-anglais)
vous laisse imprimer son BLOC-NOTES DU COLLOQUE
ICI
: SECTION SPECIALE FILM NOIR , HAYS CODE...
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