profs d'anglais et défense de la langue française
L E S..N O U V E A U X..E N J E U X
titre

D U..M U L T I L I N G U I S M E

«Il arrive dans le langage la même chose que dans les habits, il y en a qui poussent les modes jusques à l'excez, d'autres prennent plaisir à s'opposer au torrent de la coûtume.

Il y a des personnes qui affectent de ne se servir que des termes, & des expressions qui sont recûës depuis quelque-temps: Les autres deterrent le langage de leurs bisayeuls, & parlent avec ceux de leur âge, comme s'ils conversoient avec ceux qui vivoient il y a deux cents ans: les uns & les autres pechent contre le bon sens.

Lorsque l'usage ne fournit point de termes propres pour exprimer ce que nous voulons dire, on a droit de

rappeller ceux que l'usage a rebutés mal à propos.

Un homme est excusable quand pour se faire entendre il fait un nouveau mot ; pour lors on doit blâmer la povreté de la langue, et louër la fecondité de l'esprit de celuy qui l'a enrichie. [...]

Pourvû toutefois que ce nouveau mot soit habillé à la mode, qu'il ne paroisse point étranger ; c'est-a-dire qu'il ait un son qui ne soit pas entierement different de celuy des mots usitez.» -

õ Bernard Lamy,

L'art de parle, Lib. I, Cap. IV., 1675.

(signalé par Olivier Bettens).

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TRADUCTION et FRANCOPHONIES

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EUROPANTO, un "nouveau"
créole ? Sous une forme archaïque, il fut déjà pratiquée à la Renaissance, notamment par le grand et très illustre musicien Roland de Lassus, natif de Mons, dans ses lettres à Guillaume de Bavière. Extrait d'une lettre datée du 16 février 1574 :

"Affin que vostre Excellence voie que ie veux acomplir sa bonne volunté, qui est que ie donne neü Zeitung a votre f. g. de omnj buso la doue si trouiamo, io lasso saber a vuestra Excellentia si come per la gratias de dios todos las compagnias tanbien los Cauallos é la mercedes de los asinos se portent mediocrement asses fort bien, et equitamus apud locum vocatis clausa, sed pian pianino, Jusques an dem herbergum, vbi alle nacht ich lass ein guetten drunck umbergen, pro sanite principem nostrum galantissimum, vostre Excellence face' quant il luy plaira raison..."

D'après Olivier Bettens.

TRADUCOLO

En 1923, le célèbre romancier et nouvelliste indien Premchand faisait paraître sa traduction, en hindi, du roman d'Anatole FranceThaïs - traduction très proche de l'original mais volontairement libérale par endroits. Le choix de cette oeuvre constituait un geste politique délibéré. Traduire un texte ne faisant pas partie du répertoire de la puissance colonisatrice, c'était en quelque sorte chercher à libérer la littérature de sa tutelle.

D'autres traducteurs allaient poursuivre dans cette voie, avant et après l'indépendance, dévoilant ainsi les horizons plus vastes d'un univers non colonial, non britannique en l'occurrence.



Humeurs: anglicismes - de cari à 'cíur i...'

Il n'y a aucune raison d'encourager l'introduction d'anglicismes dont l'effet est d'éliminer, en les faisant tomber en désuétude, des mots français équivalents...

Un anglicisme est une locution empruntée à l'anglais, pas «un mot anglais non traduit», (ex.: «village global» est pur anglicisme). Il peut se réduire à un mot: il existe des anglicismes constitués par le choix d'un mot français inadéquat sous l'influence de l'anglais (par exemple «éditer» pour «to edit»). Si le mot en question s'avère adéquat, il s'agit d'une traduction digne de ce nom.

L'anglicisme est beaucoup plus l'intrusion d'une pensée (conception, mentalité, comportement, etc.) dans une langue, un simple mot non traduit. Comme M. Jourdain, nous employons des anglicismes à notre insu: «faire l'amour» («make love», «adopter un profil bas» («to adopt a low profile», expression éculée en anglais comme en témoignent les manuels avant même que les journalistes français ne l'adoptent!), etc... «Qui veut faire la belle, fait la bête!».

De tels emprunts sont dûs à des personnes qui, en toute bonne foi, s'improvisent traducteur et tombent dans le mot à mot, le mot français identique, un mot forgé qui ressemble au mot à traduire ou qui pourrait exister en français. Par exemple «generate» est traduit par «générer» par analogie entre l'anglais et le français «génération», «dégénérer», alors qu'il existe le mot français: «engendrer»... Dans le cas de «laptop», pourquoi accorder une prime à la médiocrité en adoptant «ordinateur portable» alors que «portatif» est naturel et satisfaisant, permet la même ellipse («un portatif»). Le mot «portatif» risque d'être éliminé du vocabulaire par la généralisation de «portable» à d'autres domaines!

Ainsi «générer» est en train d'éliminer «engendrer», «désinformation» fait oublier «intoxication», et «nurse», d'un mot que l'anglais a lui-même emprunté au français «nourrice», a relégué ce dernier au statut de mot vieillot, alors qu'il est parfaitement acceptable, que l'étymologie est transparente. Et «curry», prononciation anglaise déformée d'un mot malabar pour une fois bien restitué en français par «cari» (ou «cary»), que cet anglicisme a éliminé - un comble.

La liste est longue. Je viens d'écrire «étymologie transparente». Expression ambigüe si l'on traduit froidement l'anglais «transparent» par le même mot français. En anglais cette expression appliquée à un mécanisme matériel ou abstrait signifie qu'il n'est pas perceptible à l'utilisateur normal. Dans certains contextes, le mot anglais signifie «invisible» là où le français signifie «visible»! Imaginez la confusion si dans un texte à diffusion large quelqu'un traduisait l'anglais «transparent» par le français «transparent» (qui serait alors un anglicisme) !

Il ne faut pas confondre liberté de traduction et laxisme irresponsable, il est juste de faire appel au sens critique de ceux qui, du fait des circonstances, peuvent avoir une influence sur le choix de tel mot plutôt que tel autre et, plus généralement, à l'usage qui est fait du langage.

À propos de «global village», Louise Brunette fait remarquer que dans «globalisation des marchés», «global» est l'adjectif tiré de «globe» (terrestre»!) et non du mot «global» par opposition à «local» - splendide exemple d'«aliénation linguistique» qui fait perdre tout le bénéfice de la traduction et représente un danger bien plus grand que l'usage sans vergogne de mots anglais en français... Je n'ai rien contre l'anglais. Je m'oppose aux anglicismes et à l'usage inconsidéré de mots étrangers pour des raisons de clarté et d'efficacité. Face à des textes mal rédigés à cause d'une influence mal contrôlée de l'anglais, on a besoin de reformuler pour comprendre. Ma syntaxe, mon orthographe, sont parfois altérées à force d'utiliser une langue de structure différente.

Exemple, ce francophone prônant le tout-anglais sur l'internet (sic): «Il faut [...] convaincre [les humains] de faire un petit effort, en leur représentant que l'existence d'une langue commune favorise fortement les interactions linguistiques transnationales». Ce qui pouvait simplement être rendu par: «... en leur montrant qu'une langue unique simplifierait beaucoup les relations internationales», ou quelque chose dans ce genre...

Il ne s'agit par de purisme : la confusion du langage gagne la pensée; l'auteur ne s'aperçoit pas qu'il se contredit, tient des propos incohérents, ou... ne dit rien du tout... Pourquoi vouloir un équivalent français pour chaque mot, chaque expression étrangère ? Le français peut fonctionner avec un vocabulaire plus réduit que l'anglais, tout ayant une puissance équivalente. La taille du vocabulaire, aspect purement statique, ne détermine pas toutes les possibilités d'expression d'une langue: il y a aussi des aspects dynamiques, que l'on tend à oublier.

Jacques Melot. Avec l'aimable autorisation de l'auteur.

L'américain, une langue...

...que le brillant esprit que fut Benjamin Franklin a tenté de créer (c'est lui qui est bel et bien à l'origine de «nite» au lieu de «night» ou de «center» au lieu de «centre», par exemple, et ce n'est pas parce qu'il ne savait pas écrire!) et dont l'implantation a réussi plus tard... sciemment, dans le but de couper encore plus les liens culturels avec l'Angleterre monarchiste...

L'américain prétend bel et bien être une langue, ses mots ne sont pas les mêmes, sa grammaire est infiniment plus permissive que l'anglais (on peut, par exemple, former un verbe avec un nom, ce qui est interdit en anglais : «I brown-bag my lunch»)...

L'australien n'est pas une langue car il ne veut pas déroger du standard britannique, qui demeure la référence... tout comme le québécois n'est pas une langue car l'écrit a la volonté de demeurer fidèle au standard français que l'on dit international (bien que l'on ait essayé surtout dans les mileux marxistes-léninistes des années 1960-1970, de créer de toute pièce une langue québécoise en récupérant le mot «joual», et en l'enseignant dans les écoles, en centralisant aussi dans un dictionnaire tous les mots les plus vernaculaires des coins les plus reculés du Québec, et en prônant une grammaire propre à ce sabir que, personnellement, je n'aime pas, car il m'empêche de communiquer avec le reste du monde francophone).

Quelqu'un a dit un jour : «Une langue est un dialecte doté d'un ministère de la Défense»... Les États-Unis, la seule superpuissance qui reste en ce monde, ont les moyens et même la prétention de défendre ce qu'eux appellent l'[anglais] américain. Il est vrai, pour nuancer quand même, qu'ils conservent gentiment le mot «anglais», ce qui déplaît souvent aux Britanniques, et pour cause. Ils pourraient s'en passer.

Quant à moi j'ai appris les deux... et je me délecte des différences... encore faut-il s'en rendre compte... les Britanniques eux-mêmes américanisent leur langue dans une certaine mesure (assez considérable), la puissance impliquée étant très supérieure à celle d'un rouleau-compresseur....

Alain La Bonté, Québec (France-Langue, Mai 1997). Reproduit grâce à l'aimable permission de l'auteur.

À propos de la domination de l'anglais

« Parfois, j'ai honte d'être anglophone...Les américains ne peuvent imaginer que les étrangers puissent vraiment penser dans une de ces langues bizarres !..»

Un échange entre MM. Alain LaBonté (Québec) et Randall Barry (USA).

(...) Je suis anglophone de naissance, mais j'ai passé assez de temps au Québec et en Belgique pour pouvoir comprendre comment une langue peut en dominer une autre. Ici aux Etats on se bat de plus en plus à cause de l'usage de l'espagnol. C'est dommage que le projet de norme ne puisse pas être vraiment neutre linguistiquement. Si l'approbation de cette norme suit le chemin de l'ISO 639-2, il me semble que le débat peut être interminable...

Je partage ces sentiments personnels, ne sachant pas s'ils seraient bien accueillis par mes collègues anglophones. Je pensais que vous pouviez me comprendre. Parfois, j'ai honte d'être anglophone.

Randall Barry
Arlington, Virginie, E.U.A.

Parfois, je me demande en contrepartie comment je réagirais si j'étais anglophone de naissance. Mais consolez-vous, vous êtes aussi francophone, une circonstance atténuante, puisque vous parlez français. Tout comme (que je le veuille ou non) je suis moi aussi anglophone, puisque je parle anglais, nullement par obligation au départ (bien que cela n'ait été utile plus tard, bien sûr, et que cela m'ait encouragé à apprendre aussi d'autres langues).

Cela devrait vous réconforter. L'appartenance à une communauté linguistique, contrairement à l'appartenance à une race, a ceci de beau qu'elle puisse devenir tout à fait volontaire.

Et je connais même des gens qui ont renoncé totalement à leur langue maternelle, pour illustrer à quel point il peut s'agir aussi d'une question totalement du ressort de la volonté humaine. Cela est encourageant. C'est un honneur que d'aller au-delà de sa langue maternelle. C'est la démonstration d'une ouverture vers l'autre, et aussi d'efforts considérables, ce qui est aussi en soi une preuve d'amour de l'humanité, quand cela est volontaire et non basé sur une obligation coloniale.

L'anglais en soi n'est pas une plaie, c'est une grande langue de civilisation. Ce qui est inacceptable, c'est que l'on s'en serve pour créer par domination accidentelle un « racisme » artificiel, comme si l'on n'avait pas assez des racismes contre lesquels on ne peut se défendre parce que leur cause (qui est inoffensive en soi, en autant que les caractéristiques dites « raciales » sont concernées) est génétique.

Me donnez-vous la permission de diffuser votre texte auprès de mon cercle de francophiles ?


Alain LaBonté
Québec, Canada.

M. LaBonté,

Vous avez ma permission de diffuser mes pensées auprès de votre cercle de collègues francophiles. Étant sensible à la situation des gens qui souffrent parfois de la domination de l'anglais dans le monde, je n'ai pas peur de leur réaction.

D'autre part, je ne voudrais pas choquer mes compatriotes anglophones qui sont (j'en suis sûr) plutôt ignorants du problème, tout simplement parce qu'ils n'ont aucune expérience vécue du préjugé linguistique.

Bien que je sois anglophone de naissance, ma grand'mère est italienne de naissance. L'italien était sa langue maternelle et bien qu'elle iat grandi en Géorgie (l'état américain), elle a du apprendre l'anglais comme langue étrangère. A l'école (elle me l'a raconté une fois), les reoligieuses l'ont forcée à changer son nom d'Adelina en «Lee», pour être «plus américaine». Mon oncle Carmelo est devenu «Charlie» sous la même pression culturelle, mon oncle Luigi est devenu «Louie», etc.

C'était peut-être bon pour leur intégration dans la société américaine anglophone, mais cela leur a coûté une partie de leur identité italienne.

Quand j'étais petit, je me rappelle qu'il y avait toujours une table à part au moment des pique-niques ou soirées de fête où l'on parlait l'italien. Malheureusement, ma mère ne parlait pas d'autre langue que l'anglais et ne semblait pas avoir le moindre interêt pour l'expérience de sa propre mère. Mais j'avais toujours un profond désir de comprendre ce que disaient mes parents italiens à cette table à part! Finalement j'ai pris des cours d'italien pour pouvoir faire partie de ces discussions.

Malheureusement, j'ai alors découvert que ma grand'mère et ses frères ne parlaient qu'un dialecte sicilien assez difficile à comprendre. C'est la vie!

Cette expérience m'a préparé à une vie plus «branchée», plus connectée au problème des langues dans la société. L'américain moyen n'a aucun système de référence quand il s'agit des questions de langues. Il y avait autrefois un programme à la radio qui s'appellait «Prairie Home Companion» (c'était une émission de la radio officielle américaine), où l'animateur parlait de l'esprit américain. Il faisait remarquer qu'il croyait qu'au fond, que tout américain croit *de tout son coeur*, que les étrangers pensent vraiment en anglais.

Les américains ne peuvent pas imaginer que les étrangers puissent vraiment penser dans une de ces langues étrangères bizarres ! Une fois mon grandpère a fait une déclaration révélatrice à propos de cette idée de langue interne. Il m'a dit: «Tu sais, ces hispaniques-là, ils parlent anglais bien qu'ils fassent semblant de ne parler qu'espagnol. Ils se parlent en espagnol mais je les ai entendu parler anglais aussi! Ils passent à l'espagnol pour nous agacer, pour nous irriter, pour cacher quelque chose, ou parce qu'ils sont paresseux!» (Il le croyait vraiment.)

J'ai tenté de lui faire comprendre l'effort qui est exigé pour parler une langue étrangère, et comment il peut être plus commode de revenir à sa langue maternelle quand l'usage de la langue étrangère n'est pas obligatoire, mais il ne pouvait accepter l'idée que, pour les hispanophones, l'anglais était une langue étrangère.

Il pensait que puisqu'ils vivaient aux E.U., l'anglais devrait devenir automatiquement leur langue maternelle. Je crois que mon grand-père représente la plupart des américains anglophone (de naissance).

Je suis devenu «francophone» par hasard (et au prix de pas mal d'efforts !), au lycée. Il y avait une jeune fille coréenne qui avait vécu en France juste avant son arrivée à Washington. (Son père était diplomate.) A l'âge de 14 ans ils sont venus aux E.U. et elle a du apprendre une troisième langue (le coréen étant sa langue maternelle). J'avais à peine commencé à étudier le français (une langue étrangère étant exigée au lycée lorsque j'étais jeune).

L'usage du français était la seule façon de communiquer avec elle pendant la première moitié de l'année scolaire. J'ai eu ainsi la rare occasion de voir comment une langue peut être une barrière, mais aussi un outil pour la communication. Puisque le français n'était pas sa langue maternelle, ni la mienne, nous étions égaux dès le départ.

Je n'ai jamais souffert de cette timidité que l'on peut ressentir quand on tente de parler une langue étrangère pour la première fois avec quelqu'un qui la parle bien. Elle et moi, nous nous sommes connus peu à peu grâce au français, et je dois ajouter, à l'extase du professeur de français qui voyait en nous un succès imprévu.

Elle m'a expliqué ce que c'est que d'être analphabète et étranger dans un pays immense comme les E.U., où les gens ne comprennent pas la difficulté qu'il y a à maîtriser une langue étrangère.

Cela m'a préparé à mes propres voyages de découverte dans les pays non-anglophones.

Notre problème à nous américains, est de ne pas assez souvent être obligés de parler une langue étrangère. Il est difficile d'empêcher les étrangers de nous parler en anglais. Je suis sûr que vous avez fait l'expérience de devoir supporter une conversation pénible avec un américain qui tente de parler français (en général très mal!).

Je crois que les anglophones, à cause des caractéristiques de l'anglais, ont plus de problèmes pour prononcer le français que d'autres langues. Grace à mes expériences dès l'âge de 13 ans, et peut-être à une capacité innée à reproduire les sons que j'entends, j'ai pu maîtriser la prononciation du français en même temps que j'ai augmenté mon vocabulaire (au lycée).

Particulièrement au Québec, il est rare maintenant que les gens me parlent en anglais lorsque je leur parle en français - mis à part les anglophones, bien sûr!).

J'ai beaucoup apprécié vos remarques sur le projet de norme ISO qui touchaient aux questions de langue et de traduction des normes. Pour la documentation technique, dont je suis responsable en ma qualité de spécialiste des normes auprès du gouvernement américain, je crois qu'il faut toujours prévoir une traduction pour les non-anglophones. Je crains que les anglophones ignorent cette vérité.

Je travaille beaucoup maintenant avec les russes.J'ai été très impressionné par l'effort qu'ils font pour ce qui est des traductions. Ils traduisent presque toujours les normes et la documentation qu'il leur faut. J'ai l'impression que les anglophones apprécient cela. Je suis convaincu que le besoin de pourvoir à des traductions et la documentation dans toutes les langues du monde est important aussi. (Peut-être pas *toutes* les langues, mais autant de langues que possibles.)

...

Randall Barry.

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